François Lavergne
Avec la maladie, on s’éloigne de son moi. Et c’est cet équilibre qu’il faut retrouver. Cela demande beaucoup d’efforts. Médicaments, confrontations médicales, apprentissage de la douleur et du doute. On n’est pas pilote mais il faut le redevenir. On doit être maître de son destin, et il faut se battre pour conserver cette directive sacrée. Les peuples doivent le faire, les individus aussi.